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DEUIL

Face à l’impuissance, à la colère, au déni, à la souffrance, à la perte…
c’est l’acceptation de la réalité qui permettra de rebondir.

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La mort d’un être cher

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C’est la séparation ultime. En fonction des croyances de chacun elle sera plus ou moins difficile à accepter. Cette disparition crée un vide relationnel et affectif.

 

Nous verrons comment vivre ces moments auxquels nous sommes bien souvent pas préparés, ainsi que les différentes phases du deuil :
– Le choc : l’annonce de la mort
– La préparation des obsèques et les démarches administratives
– L’enterrement : accompagnement, partage
– La confrontation à l’absence
– L’acceptation
– La reconstruction

Fin de Vie

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Maladie à un stade avancé, handicap ou grand âge, autant de situations où parfois l'autre est transformé au point de ne plus le reconnaître.

Il faut alors renoncer à la relation entretenue depuis toujours et changer sa façon de voir les choses. 

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Chaque personne a ses traditions et ses croyances pour l'aider à appréhender sa propre mort et donner un sens à sa vie.
Si certains parviennent à intégrer cette fatalité facilement, d'autres souffrent d'une angoisse de mort parfois obsessionnelle

 

Le patient en fin de vie a besoin de parler de la suite, de s’organiser, de préparer son départ …, nous devons l'aider en lui montrant l'intérêt de tout ce qu'elle a transmis aux générations suivantes.
L'immortalité réside dans cette transmission, dans ce lien que l'on crée avec nos proches et notre entourage. 

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Le Deuil Périnatal 


Véritable épreuve dans la vie d'une femme, banaliser ce moment est la pire chose à faire car le lien intra-fœtal est très fort.
Le couple devient parent et endeuillé en même temps.
Que ce soit un enfant mort né, décédé in-utéro ou quelques jours après sa naissance, il est capital de le considérer, d’en parler et de lui donner une existence, un prénom, un statut... car il a existé. 


La grossesse suivante est très appréhendée et bien suivie par l'équipe médicale mais elle parait très longue, parfois même difficile à vivre.
La maman se sent souvent maléfique et coupable au point de ne pas avoir de lait pour nourrir cet enfant.

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Quand à l'enfant suivant, Il a ressenti le stress de cette grossesse, et il est

souvent très sage pour aider ses parents. D'où l'importance de lui raconter ce qu'il s'est passé, car lui cacher peut lui déclencher des phobies...

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